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Descoeur - Vincent DESCOEUR

Transports et mobilités : Vincent Descoeur classé parmi les députés les plus influents

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Vincent Descoeur, député du Cantal, classé 5e député le plus influent pour son travail à l’Assemblée nationale dans les domaines des transports et des mobilités.

Rumeur Publique, agence indépendante en communication d’influence, a publié ce mercredi 26 juin, en partenariat avec Data Observer, son 4e baromètre des députés les plus influents, consacré cette année au travail législatif sur les secteurs des transports et des mobilités.

Vincent Descoeur, député du Cantal, est classé 5e de ce Top 50 des députés les plus influents, dont l’objectif est de mettre en lumière les parlementaires qui ont montré leur capacité à devenir des experts sur un sujet de fond et à se mobiliser pour défendre leur position, aussi bien à l’Assemblée nationale que dans la presse ou sur les réseaux sociaux, expliquent les responsables de Rumeur Publique. Il a été établi sur la base de 7 critères, dont le nombre d’amendements adoptés ou la présence médiatique et numérique.

Ce classement, qui prend en compte le travail des députés depuis le début de la législature, intervient après l’examen à l’Assemblée nationale du projet de loi d’orientation sur les mobilités, durant lequel le député du Cantal a multiplié ses interventions et prises de position pour l’assouplissement des 80 km/h, pour la défense des lignes aériennes d’aménagement du territoire, des petites lignes ferroviaires, contre les hausses de taxes sur les carburants ou pour l’expérimentation entre la capitale et le Massif central d’une nouvelle génération de trains de nuit.

Lors d’une rencontre à Paris avec le président national et le président départemental de l’Union des métiers et industries de l’hôtellerie (UMIH) qui milite pour le retour des pré-enseignes.

Restaurants : l’Assemblée nationale vote pour le retour des pré-enseignes

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L’Assemblée nationale a voté le 9 mai 2019 en première lecture une proposition de loi visant à rétablir les pré-enseignes pour les restaurants en zone rurale.

J’avais cosigné cette proposition de loi, déposée par le député Richard Ramos, qui vise à permettre aux restaurateurs ruraux d’installer ou réinstaller leurs pré-enseignes afin de signaler leur existence au bord des routes.

J’avais moi-même déposé en mars 2018 une proposition de loi visant à autoriser à nouveau les pré-enseignes, à la fois pour les restaurants, les hôtels, les commerces alimentaires et les distributeurs de carburants. Lors de l’examen de ce nouveau texte, beaucoup plus restrictif, j’avais proposé par amendement d’élargir cette autorisation au-delà des seuls restaurants, mais il n’a pu être adopté.

Depuis juillet 2015, un arrêté ministériel interdit la pose de pré-enseignes liées à des activités commerciales, sauf dérogation, en dehors des agglomérations et dans les villes de moins de 10 000 habitants. Une disposition particulièrement pénalisante pour les activités commerciales et de service en milieu rural.

Le texte adopté par l’Assemblée nationale doit être maintenant soumis à l’examen du Sénat où, espérons-le, il pourra être amélioré.

Photo : Lors d’une rencontre à Paris avec le président national et le président départemental de l’Union des métiers et industries de l’hôtellerie (UMIH) qui milite pour le retour des pré-enseignes.

Maladie de lyme : les auditions se poursuivent

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Depuis le début de la législature, je préside avec ma collègue Nicole Trisse, députée LREM de Moselle, le groupe d’études sur la maladie de lyme constitué à l’Assemblée nationale. Avec la trentaine de députés qui composent ce groupe, nous avons mené ces derniers mois une dizaine d’auditions.

En effet, la maladie de Lyme semble avoir progressé ces dernières années en France et nous sommes nombreux à recevoir dans nos permanences parlementaires des personnes disant souffrir de cette pathologie sans trouver d’écoute auprès de la communauté scientifique. La remise en question de la fiabilité des tests sérologiques et l’insuffisante sensibilisation des professionnels au dépistage de cette maladie complexe en compliqueraient le diagnostic.

Face aux nombreux cas d’errance diagnostique et thérapeutique et à la suite de la publication de la recommandation de bonne pratique de la Haute Autorité de santé en juin 2018, le groupe d’études a souhaité entendre les différents spécialistes de ce problème de santé publique afin que des solutions puissent être trouvées pour orienter au mieux les personnes en mal de diagnostic.
Fin avril, les députés ont ainsi entendu les représentants de la Société de pathologie infectieuse (SPILF) et, le 7 mai dernier, la présidente de la Haute Autorité de Santé. Ils auditionneront prochainement le Directeur Général de la Santé, le professeur Salomon.

Les députés espèrent que leurs travaux pourront déboucher sur une meilleure visibilité dans les préconisations apportées aux patients et aux médecins et qu’un suivi soit proposé à l’ensemble des patients en errance thérapeutique. Ils envisagent également de rencontrer la ministre de la Santé pour évoquer un renforcement des moyens de recherche sur cette pathologie.

Prix des carburants, 80 km/h : toujours aucune réponse de l’Etat

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Je suis intervenu le mardi 7 mai à l’Assemblée nationale, dans le cadre des questions au gouvernement, pour interpeller le gouvernement sur la hausse des prix des carburants et l’aménagement de la limitation de vitesse à 80 km/h.

Au cours des longues semaines qu’aura duré ce Grand débat, la question de la mobilité dans les territoires a été soulevée à de nombreuses reprises. Les 80 km/h ainsi que la hausse des prix des carburants demeurent des sujets de préoccupation pour beaucoup de français qui n’ont aucune alternative à l’utilisation quotidienne de leur véhicule. Ces deux questions n’ont pour l’heure fait l’objet d’aucune réponse concrète, alors qu’elles sont considérées comme les détonateurs de la crise des gilets jaunes.

Depuis le début de l’année, les prix des carburants sont repartis à la hausse et sont en passe d’atteindre des niveaux records, ce qui suscite l’inquiétude légitime de ceux qui n’ont pas d’alternative à l’utilisation quotidienne de leur véhicule. Si le gouvernement n’a pas la maîtrise des cours du pétrole, il a par contre le pouvoir de moduler les taxes ou de les plafonner pour ne pas rajouter à la flambée des prix.

Dans son intervention en réponse, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner n’a apporté aucune information nouvelle. Tout au plus a-t-il laissé entendre une nouvelle fois qu’une adaptation de la limitation de vitesse à 80 km/h restait envisageable.

Retrouvez mon intervention ainsi que la réponse du ministre :

Parlement des enfants : Vincent Descoeur à la rencontre d’élèves de CM2

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Je me suis rendu à l’école du Palais à Aurillac dans le cadre de la 23 ème édition du Parlement des Enfants. J’ai pu échanger durant près de deux heures avec les 28 élèves de CM2 de la classe de Bruno Taillandier, qui avaient été invités à rédiger une proposition de loi sur le thème du « bon usage du numérique ». Les élèves m’ont présenté leur proposition de loi, qui vise à protéger les mineurs qui utilisent les jeux en ligne, tchats et réseaux sociaux en s’assurant du sexe et de l’âge de leurs interlocuteurs.

Cette présentation a donné lieu à un échange soutenu avec les élèves, qui m’ont posé de nombreuses questions très pertinentes sur le rôle du député ou le fonctionnement des institutions.

Une proposition de loi sera retenue dans chaque académie. Elles seront ensuite examinées par un jury national qui se réunira le 6 mai et choisira les quatre classes finalistes. Les élèves des classes de CM2 pourront alors voter pour la proposition de loi qui leur semble la meilleure. Les finalistes seront invités à l’Assemblée Nationale le 19 juin 2019, et les résultats du vote électronique seront annoncés à cette occasion.

Vincent DESCOEUR

Préserver le statut de sapeur-pompier volontaire

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J’ai attiré l’attention du ministre de l’intérieur sur les menaces qui pèsent sur le statut de sapeur-pompier volontaire du fait de l’interprétation que fait la Cour européenne de justice de la directive européenne 2003/88/CE du 4 novembre 2003. Cette directive pourrait en effet remettre totalement en cause le modèle de secours français fondé sur le volontariat.

Dans sa réponse, le ministre de l’Intérieur affirme la volonté du gouvernement d’engager des démarches auprès de l’Union européenne pour « préserver le modèle français de sécurité civile ».