Le Premier ministre s’engage sur le retour du train de nuit

Publié le 7 novembre 2021

A l’occasion de son déplacement dans le Cantal les 29 et 30 octobre derniers avec le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien Denormandie, le Premier ministre Jean Castex s’est engagé sur la remise en service d’un train de nuit entre Aurillac et Paris.

De désenclavement, il a été question dès le dîner de travail organisé le 29 octobre au soir à Aurillac, auquel Vincent Descoeur, député du Cantal, a participé aux côtés des parlementaires cantaliens, du président du Conseil départemental, du maire d’Aurillac, du président de l’association des maires du Cantal et du préfet.

Les élus du Cantal ont ainsi pu sensibiliser le Premier ministre aux problématiques auxquelles le Cantal est confronté en matière de désenclavement, en s’inquiétant en particulier des modalités d’un éventuel transfert des routes nationales vers les départements ou les régions comme le prévoit le projet de loi 3DS ou de l’avenir de la desserte ferroviaire. Il a également été question de l’offre de santé, de l’avenir des hôpitaux, des difficultés de recrutement, de la relance économique, des freins à l’attractivité…

Le lendemain, Vincent Descoeur a accompagné le Premier ministre et le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation à chaque étape de leur déplacement : visite des nouveaux locaux de l’entreprise Europe-Service aux Quatre-Chemins, passage au marché d’Aurillac puis au comice salers de Jussac, intervention devant l’assemblée générale de l’association des maires du Cantal à Mauriac puis visite de l’exploitation agricole de Jean-Marie Fabre à Saint-Chamant et réunion de travail avec les responsables agricoles du département.

Devant le congrès des maires, le Premier ministre a apporté une première réponse aux parlementaires et au président du Conseil départemental sur le dossier du ferroviaire en s’engageant à leur communiquer une date de remise en service d’un train de nuit entre Aurillac et Paris avant la fin de la législature. Un sujet sur lequel Vincent Descoeur est mobilisé depuis plusieurs mois à l’Assemblée nationale (voir article).